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La douleur infantile a longtemps été sous-estimée. En cause, la difficulté de communication. Désormais, la lutte contre la douleur de l’enfant, à savoir sa détection, son évaluation ainsi que son traitement, fait partie intégrante de la prise en charge médicale.
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La douleur a été définie par l’association internationale d’étude de la douleur (International Association for the Study of Pain IASP, 1979) comme une « expérience sensorielle et émotionnelle désagréable liée à une lésion tissulaire réelle, potentielle ou décrite en ces termes par le patient »
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Très tôt, les parents sont confrontés à la douleur de leur enfant (poussée dentaires, maux de ventre…) Comment l’évaluer chez un nourrisson ou avec un enfant qui communique peu ?
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La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable en rapport avec une lésion tissulaire réelle ou potentielle. Cette définition est mal adaptée aux nouveau-nés qui ne possèdent pas l’apprentissage nécessaire pour identifier la douleur, mais les altérations comportementales dues à la douleur peuvent être considérées comme des équivalents d’expression verbale
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L’échelle DEGR (Douleur Enfant Gustave Roussy)
Âge d’utilisation : élaborée pour l’enfant de 2 à 6 ans. Utilisable de 9 mois à 10 ans.
Type de douleur évaluée : douleur « prolongée » chez l’enfant. Cette échelle a été élaborée pour l’enfant cancéreux et nous conseillons de l’utiliser dans toute situation de douleur prolongée.
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OPS (Objective pain scale)
- Âge d’utilisation : élaborée pour l’enfant de 8 mois à 13 ans. Utilisable dès 2 mois.
- Type de douleur évalué : douleur postopératoire dès la salle de réveil.
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- Âge d’utilisation : ébaorée pour l’enfant de 1 à 7 mois. Utilisable de 0 à 3 ans.
- Type de douleur évalué : douleur postopératoire dès la salle de réveil.
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L’EDIN (Echellet de douleur et d'Inconfort du Nouveau-né) est élaborée pour le nouveau-né à terme ou prématuré. Elle est utilisable jusqu’à 3 mois.
Elle évalue la douleur prolongée et l’inconfort de l’enfant.
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Le Profil Douleur Pédiatrique (PDP) est un outil créé spécialement pour aider à évaluer et à prendre en charge la douleur chez des enfants porteurs de handicaps neurologiques sévères, tout particulièrement ceux dont les lésions les empêchent de communiquer par la parole. De tels handicaps signifient que les enfants sont dépendants de leurs soignants pour interpréter leurs signes de douleur.
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Chaque enfant a un comportement naturel habituel qui lui est propre. Il se modifie dès que ses besoins physiques et psychologiques ne sont pas satisfaits et la douleur est un élément perturbateur, qu’elle soit spontanée ou déclenchée.
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Évaluation de la douleur de la personne polyhandicapée.
10 items. La cotation est effectuée de façon rétrospective sur 8 heures
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Âge d’utilisation : de la naissance à 18 ans, validée de 2 mois à 7 ans, mais il y a des publications chez le nouveau-né et jusqu’à l’âge de 19 ans pour la personne handicapée.
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Type de douleur évalué : douleur postopératoire initialement puis douleur aiguë d’un soin et version adaptée pour la personne handicapée.
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Âge d’utilisation : de 3 ans
à l’âge adulte.
Type de douleur évaluée : douleur
chez le patient ne pouvant communiquer verbalement, ne pouvant s’auto-évaluer,
en relation avec un handicap cognitif, essentiellement dans le cadre du
polyhandicap.
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Votre enfant comme vous-même l’avez certainement expérimenté : on ressent moins certaines douleurs quand on comprend ce qui se passe, que l’on a confiance, que l’on est détendu, que l’on pense à autre chose, que l’on se sent soutenu, entouré…
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A l'occasion des 25es Journées Pédiadol, Florence Reiter (psychologue, hôpital d’enfants Armand-Trousseau, Paris) et Bénédicte Lombart (infirmière, cadre de santé, docteur en philosophie pratique et éthique hospitalière, hôpital Saint Antoine, Paris) s'intéressent à la question de la phobie des soins et des repères cliniques pour s'en sortir.
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La mémorisation d’événements douloureux joue un rôle essentiel dans l’anticipation de l’expérience suivante et peut entraîner des conséquences à long terme. L’enfant, dont les facultés cognitives se développent progressivement, et dont les émotions sont très envahissantes, est particulièrement concerné par ce retentissement, dont il ne peut se défendre au cours des premières années. La neuropsychologie et la neurophysiologie ont récemment permis de faire progresser les connaissances sur la faculté humaine de mémorisation, notamment grâce à l’imagerie fonctionnelle.
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Face à l'enfant qui a mal, nous sommes souvent désemparés. Nous désirons l'aider, mais ne savons pas toujours comment faire. Il ne s'agit ni de refuser notre aide à l'enfant quand il a mal, ni de répondre systématiquement à toute plainte par un médicament, mais de connaître les meilleures solutions pour éviter et soulager la douleur quand cela est nécessaire.
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Les personnes en situation de handicap sont particulièrement vulnérables à ces douleurs, surtout quand leurs capacités de communication sont altérées.
De plus, chaque évènement douloureux mémorisé joue un rôle dans l’anticipation anxieuse et le risque de majoration des douleurs lors des soins suivants.
Il y a donc un enjeu majeur pour les équipes à anticiper la douleur liée aux soins, d’autant que ces douleurs fréquentes, de durée limitée sont tout à fait prévisibles.
Des thérapeutiques adaptées et efficaces, l’évaluation de la douleur doivent donc être systématiquement utilisées pour optimiser la prise en charge de la douleur dans le contexte des soins.
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Fièvre et douleur sont deux symptômes très fréquents chez l’enfant et d’ailleurs bien souvent indissociables l’un de l’autre. Les enfants (de moins de 15 ans) constituent une catégorie de patients particuliers. Plus fragiles physiologiquement, ils peuvent être, selon leur âge, incapables d’expliquer leurs symptômes.
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